CLARA BASTOS porteuse de la flamme olympique !!
L’émotion était visible sur le visage de José Bastos et celui de Clara, sa fille, ce mercredi à 8h50 au moment du départ du 1er relais de la flamme olympique place du Maréchal Leclerc
Après avoir animé micro en main les activités d’avant départ, le moment est venu ensuite pour José, pour sa famille, pour les amis de l’ACCT, pour le public venu nombreux, de savourer et célébrer ce moment unique : Clara Bastos : porteuse de la flamme olympique !
QUELLES EMOTIONS !! QUELS SOUVENIRS !!!
La vidéo du départ sur le facebook de la ville est ICI
La vidéo de CinéVillages est ICI
Le replay sur France TV de la flamme dans l’Aisne
Patrice
Mercredi 17 juillet 2024 : EVENEMENT HISTORIQUE POUR LE CLUB !!!
Une relayeuse de la flamme olympique licenciée à l’AC Ch-Thierry , c’est l’événement historique qui n’arrivera qu’une fois dans la vie de notre club qui fêtera le 28 septembre ses 120 ans !
Vous êtes toutes et tous invité(e)s à venir célébrer cet événement mercredi ! Clara Bastos sera le premier relais à 8h55 au départ de la place du Maréchal Leclerc !
Les informations sur le site de la ville de Château-Thierry en cliquant ICI
A lire ci-dessous le reportage du journal l’Union sur Clara et la flamme.
Patrice
Paris 2024 : qui est Clara Bastos, porteuse de la Flamme olympique dans le sud de l’Aisne à Château-Thierry ?
Pendant sept jours, nous allons à la rencontre de relayeurs de la Flamme olympique dans l’Aisne. Aujourd’hui, portrait de Clara Bastos, athlète castelle qui sera la première relayeuse de la Flamme olympique au départ de Château-Thierry, le mercredi 17 juillet.
Cette professeure des écoles dans le sud de l’Aisne, qui à la rentrée prochaine transmettra son savoir à la maternelle Bois Blanchard et à Etampes-sur-Marne, ne pouvait rêver plus belle perspective. « C’est une fierté que de pouvoir réaliser cette magnifique expérience dans ma ville natale. J’avais indiqué ce souhait lors de ma candidature, il a été pris en compte. » Clara Bastos sera la première relayeuse de la flamme Olympique dans l’Aisne, au départ de la place du Maréchal Leclerc à Château-Thierry.
Ce mercredi 17 juillet à 6 h 40, elle sera au préalable dans l’enceinte du Palais des sports appelé pour l’occasion centre des porteurs de la flamme. L’athlète licenciée au club d’athlétisme castel sera accueillie par les équipiers de Paris 2024, le comité d’organisation de cette nouvelle édition des Jeux Olympiques et Paralympiques. La salle historique de l’avenue Jules Lefebvre sera fermée au public. Elle y recevra l’uniforme de circonstance, les dernières informations et consignes.
« J’aurais aimé partager l’expérience avec mon père, cela aurait été un moment extraordinaire »
Devenir relayeurs de la célèbre torche avec son père José, athlète et éducateur emblématique à l’AC Château-Thierry était un souhait partagé. Chaque postulant devant être parrainé par un proche à travers un écrit expliquant ses raisons, ses motivations… chacun a effectué la démarche pour l’autre, comme 20 000 personnes en France. C’est quatre fois plus que nécessaire d’où un tirage au sort afin d’en désigner 5 000. Clara en sera, pas José. « J’aurais aimé partager l’expérience avec mon père, cela aurait été un moment extraordinaire mais malheureusement l’histoire s’est construite autrement, c’est le jeu. »
Le dossier de Clara a franchi toutes les étapes
Ce véritable semi-marathon n’était pas fini pour la jeune femme. Il revenait en effet à chaque région d’étudier les candidatures afin d’en retenir une partie. Le dossier venu du sud de l’Aisne avait la flamme, il a séduit. La participation aux Jeux Olympiques ne s’arrêtera pas sur les bords de marne pour Clara Bastos. Souhaitant vivre l’évènement de l’intérieur, elle s’est portée volontaire bénévole. Accepté ! Elle sera équipière aux spectateurs durant dix jours au Trocadéro, plus précisément aux Parc des Champions, là où défileront les médaillés après leur sacre ! « Je vais vivre l’expérience des Jeux à fond, je ne pouvais pas espérer mieux. Ma mobilisation est complète, je suis fière d’être parvenue à en être. Maintenant, place à de riches semaines d’émotions… grâce au sport toujours ! » conclut-elle, enthousiaste. On le serait à moins.
